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21/04/21

19/04/21

La cour n’a pas suivi les réquisitions de l’avocat général qui avait demandé ce mardi un seul acquittement et des peines de douze à vingt-cinq ans de réclusion criminelle pour les douze autres accusés, désormais âgés de 21 à 26 ans. Selon nos informations, il avait commencé son réquisitoire en s’adressant aux accusés : « Je sais que vous êtes une richesse pour notre société. »

Le Parisien

18/04/21

La cour d’assises des mineurs de Paris a condamné samedi soir en appel cinq des treize jeunes jugés depuis six semaines après l’assaut de deux voitures de police à Viry-Châtillon (Essonne), en 2016. Une bagarre générale a éclaté lors du verdict.

Après six longues et éprouvantes semaines d’audience à huis clos, et quatre ans après les faits, le verdict est désormais tombé -dans le chaos- pour les 13 jeunes accusés d’avoir attaqué et brûlé avec des cocktails Molotov des policiers à Viry-Châtillon (Essonne) en 2016. La cour d’assises des mineurs de Paris a condamné cinq jeunes à des peines allant de 6 à 18 ans de réclusion, et en a acquitté huit autres.

La lecture du verdict a été interrompue par une bagarre générale dans le box des accusés, qui a nécessité l’intervention d’une trentaine de policiers et gendarmes. Les heurts se sont ensuite étendus dans la salle d’audience, où étaient présentes les familles des accusés. Le calme est revenu au bout d’une dizaine de minutes.

Après 14 heures de délibérations, les cinq condamnés ont été reconnus coupables de tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique. Trois d’entre eux ont été condamnés à 18 ans de prison, un à 8 ans de prison, et le dernier à 6 ans. Ils encouraient la réclusion criminelle à perpétuité. Les huit autres accusés ont été acquittés.

Huit condamnés et des peines plus lourdes en première instance

En première instance, huit des accusés avaient été condamnés à des peines de 10 à 20 ans de réclusion criminelle et cinq autres avaient été acquittés. Le parquet, qui avait requis des peines de 20 à 30 de prison, avait fait appel, jugeant que les peines « ne tiraient pas les conclusions » de la « gravité du crime » commis.

(…)

Les policiers Vincent et Jenny avaient été gravement brûlés, Sébastien avait eu les mains brûlées en portant secours à son collègue en feu et Virginie avait été frappée.

Le Parisien

En 1ère instance :

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