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L’ex-porte-parole d’EELV avait notamment déclaré que les «grands stratèges politiques» de la campagne «sont justes nuls!». «Je deviens folle ! Ils se plantent sur tout… C’est un gâchis», avait-elle lâché, alors que le candidat écologiste ne décolle pas, embourbé sous la barre des 10% dans les sondages. Sandrine Rousseau regrettait également que Yannick Jadot ne parvienne pas à «imposer un récit», contrairement à Éric Zemmour et Emmanuel Macron. «Nous, on vend des chaudières!», a-t-elle fustigé.

Le Figaro

La finaliste malheureuse de la primaire écologiste ne trouve pas sa place dans la campagne du candidat écologiste. Elle réfléchit à l’après-présidentielle et envisage, entre autres hypothèses, de créer son propre mouvement. La possibilité d’être en dessous des 5 % le soir du 10 avril lui semble même probable.

Selon Le Parisien, ce n’est pas une feuille de papier à cigarette mais un épais rouleau d’incompréhensions qui les sépare. Entre Yannick Jadot, le candidat écologiste à la présidentielle, et Sandrine Rousseau, qui a terminé deuxième à la primaire des écolos, le malaise est profond. La finaliste malheureuse de la primaire écologiste n’a jamais caché ses désaccords avec l’ancien de Greenpeace, mais, encalminée entre 5 et 6 % des intentions de vote, sa candidature lui paraît plus que jamais vouée à l’échec. […]

Le Parisien

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