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PARIS (Reuters) – Il y a trois ans un soir de fête de la musique, Emmanuel Picot et deux de ses amis ont été agressés sur les bords de Seine près de la cathédrale Notre-Dame par des hommes d’origine africaine qui n’avaient selon lui aucune motivation apparente.

Aux dires de l’étudiant ingénieur aujourd’hui âgé de 23 ans, cette attaque, qui s’est soldée par une rotule cassée et des contusions, a été “un gros pic dans [s]a prise de conscience” politique qui le conduit aujourd’hui à militer pour Eric Zemmour en vue de l’élection présidentielle.

“Cela m’a confirmé qu’il y avait un vrai problème de sécurité en France et ça m’a poussé à m’engager dans un camp qui protège les Français”, dit-il en montrant une photo prise après l’agression, dont Reuters n’a pu vérifier les circonstances. La plainte déposée a été classée sans suite, indique l’étudiant.

(…) “Je suis un peu nostalgique d’une France que je n’ai pas connue parce qu’on me l’a décrite”, reconnaît Emmanuel Picot. “Mes parents, mes grands-parents m’ont raconté comment c’était quand ils avaient mon âge, donc je suis un peu nostalgique de cette France-là. Cette France où on peut se balader n’importe où, quand on veut, sans risquer sa vie”.

Challenges

(Merci à Adri)

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