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La journaliste canadienne Tara Henley revient dans un article publié le 3 janvier sur les profonds désaccords qui l’ont poussé à démissionner du premier radiodiffuseur public du Canada. Un nouvel épisode dans la controverse sur l’influence du « wokisme » sur les médias nord-américains.

C’est un départ qui fait du bruit dans le monde des médias canadiens. La journaliste Tara Henley a claqué la porte de Radio-Canada, la plus importante radio publique canadienne, manifestement en désaccord avec la ligne « woke » de son employeur, plus précisément dans son traitement des questions liées aux « minorités ».

(…) Selon elle, un changement radical a eu lieu au cours des 18 derniers mois au sein du plus ancien service de diffusion du pays. « Travailler à Radio-Canada dans le climat actuel, c’est embrasser la dissonance cognitive et abandonner l’intégrité journalistique », explique-t-elle.

(…) La journaliste critique en particulier le fait qu’on demande dans les salles de rédaction : « de remplir des formulaires de profil racial pour chaque personne que vous invitez » mais aussi « faire venir plus de personnes de certaines races et moins d’autres. »

(…) Elle ajoute que travailler à Radio-Canada aujourd’hui : « c’est devenir moins hostile au gouvernement et aux entreprises et plus hostile aux gens ordinaires avec des idées que Twitter n’aime pas. »

(…) Marianne

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