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Les discriminations et propos racistes intracommunautaires sont fréquents. Mais ils ne font l’objet d’aucune étude (à ma connaissance) ni d’aucun projet pour lutter contre ce fléau. Une forme de tabou s’est installée à mesure que la stratégie victimaire s’est développée. Une partie de la sociologie actuelle est trop occupée à détourner sa fonction scientifique pour militer en faveur de “l’intersectionnalité” et des “études décoloniales”. Ouvrir un boulevard à l’intégrisme musulman et au racisme victimaire anti “blanc” semble être plus gratifiant que d’étudier les mécanismes du racisme intracommunautaire. Si ce racisme était étudié, donc mis en lumière, cela entacherait l’image orientaliste des éternelles victimes que seraient les “Arabes”/musulmans. Ces derniers subissent effectivement des discriminations en raison de leur religion et/ou de leurs origines ethniques. Mais depuis des années, cela est instrumentalisé par les islamistes et indigénistes. Ils surfent, en profitent pour dénoncer des situations imaginaires, amalgamer la critique d’une religion (et de ses dérives extrémistes) avec les attaques contre des individus. C’est le cœur de leur stratégie victimaire : culpabiliser la société, annihiler toute opposition pour mieux faire avancer leur idéologie totalitaire. Le terme “islamophobie” est leur arme rhétorique principale. C’est à cela que se consacre une partie de la sociologie actuelle. Non pour étudier la stratégie que je viens d’énoncer, mais au contraire pour la valider et la soutenir. En se penchant sur le racisme intracommunautaire, cette frange militante de la sociologie craint de freiner la lutte contre la “blanchité”. Elle se conforme ainsi au principe de “l’intersectionnalité” : à l’intersection des discriminations, les victimes intracommunautaires (femmes, gays, apostats, etc.) doivent céder le passage à la lutte contre “l’islamophobie”.
L’islamophobie est la peur, la crainte de l’islam. L’exprimer, critiquer, déclarer ne pas aimer cette religion, la caricaturer ou s’en moquer relève de la liberté d’expression, tout comme l’islamophilie. Cette liberté est aussi celle de blasphémer. De plus, le blasphème ne concerne que les croyants. Pour un athée, cela n’a aucun sens.
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Atlantico

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