“Depuis que nos trois enfants sont scolarisés à Gourville, ils vont bien et ont réalisé de très progrès. Depuis qu’on leur a dit que leur maman pourrait être expulsée, ils sont terrorisés”, explique Radel. “Personne ne peut m’accueillir là-bas, nous n’avons plus rien. La plupart de ma famille vit en France“, souligne Natacha.
Marie-Line Kasmi-Giraud, porte-parole de l’association Baobab, et membre du collectif de soutien à cette famille congolaise a dénoncé une “situation très cruelle“, indiquant que le préfet pouvait “très bien régulariser la famille: On a demandé de le rencontrer en urgence.”
Merci à Jesse James