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L’auteur de La France périphérique publie un nouvel essai sur «la France d’en haut». Il explique pourquoi l’opposition entre métropoles mondialisées et catégories populaires est de plus en plus forte. Au point de restaurer la lutte des classes.

Le géographe Christophe Guilluy, révélé par Fractures françaises (Flammarion, 2013) et par La France périphérique. Comment on a sacrifié les classes populaires (Flammarion, 2014), a renouvelé les analyses sur les mutations des classes populaires et réfuté plusieurs idées reçues sur la banlieue. Dans son nouvel ouvrage, Le Crépuscule de la France d’en haut (Flammarion), en librairie le 14 septembre, et dont Le Figaro Magazine publie en exclusivité de larges extraits, Christophe Guilluy va encore plus loin.

Le géographe rappelle d’abord sa thèse: la baisse de la proportion d’ouvriers est réelle, mais elle s’est accompagnée d’une augmentation de la proportion d’employés. Les catégories populaires – qui comprennent aussi les petits agriculteurs – n’ont donc en rien disparu. Elles sont simplement moins visibles, puisqu’elles vivent loin des grands centres urbains où se concentrent décideurs publics et privés. (…)

Le Figaro

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