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On est monté d’un cran au niveau des risques sur la rocade. » L’inquiétude de Frédéric Baland, représentant Alliance Police nationale, la majorité des syndicats la partagent. Et ils sont amers.

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Inquiétudes sur le terrain

En cause, les « nouvelles pratiques » de certains migrants lors des blocages incessants la nuit, sur la rocade portuaire. Le syndicaliste parle de « matelas enflammés, avec des bouteilles de gaz à proximité. »

Des faits graves, confirmés par Gilles Debove, représentant syndical SGP-FO Police.

« Il arrive que les migrants mettent le feu » à des bouts de bois ou des troncs d’arbre avant de placer « des bouteilles de gaz », juste à côté. Le sentiment d’impuissance face aux méthodes des exilés ne fait qu’augmenter : « On n’a pas envie de perdre un collègue. »

Le phénomène perdure depuis dix ou 15 jours selon les fonctionnaires interrogés. Qui en a eu l’idée ? Pourquoi agir de la sorte ? « On ne sait pas, répond Frédéric Baland. On a franchi une étape, il n’y a pas de mots pour expliquer ça. Si un véhicule percute un barrage avec une bonbonne, les conséquences peuvent être dramatiques. »

Sur les terrains, les consignes ont été données pour « intervenir avec prudence ». Le constat est le même du côté de SGP-FO : « Les collègues ont beaucoup de craintes, ils sont à bout et prennent de plus en plus de risques. » (…)

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