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De nombreux managers soulignent que, lorsque la religion intervient, la situation est rendue plus délicate par la menace d’accusation de discrimination.

Demandes d’absence ou d’aménagement du temps de travail pour motifs religieux, plus rarement questions de salles de prière ou de port de signes ostentatoires : en entreprise, près d’une personne sur deux est confrontée à la question du fait religieux, selon une étude rendue publique mercredi. Selon cette enquête de l’institut Randstad et de l’Observatoire du fait religieux en entreprise (OFRE), 44 % des personnes sont confrontées de manière régulière ou occasionnelle au fait religieux au travail (12 % de façon quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle, et 32 % quelques fois par trimestre ou par an). À l’inverse, 56 % y sont rarement confrontées (moins d’une fois par an ou jamais). […] La présence de menus confessionnels à la cantine et la mise à disposition de lieux de prières apparaissent aussi dans les réponses, mais en faible nombre, tandis que le port de signes religieux ostentatoires concerne 10 % des situations. Les autres situations rencontrées sont par exemple le refus de réaliser des tâches pour raisons religieuses, le refus de travailler avec ou sous les ordres d’une femme ou encore le refus de travailler avec une personne en raison de sa religion. […] Le Point

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