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Anne Kähler, 76 ans, poissonnière, tremble de peur. Elle ne cesse de pleurer. Elle regarde par la fenêtre et chuchote: « Je n’arrive plus à dormir, j’ai peur. Je n’ose plus sortir de chez moi. » La commerçante est tombée sur des dealers originaires d’Afrique noire qui, du matin au soir, vendent de la drogue devant sa porte.

Elle raconte la nuit terrible qu’elle a vécue : « Les dealers avaient fait de bonnes affaires. Ils étaient une dizaine à faire la fête devant mon commerce. Juste à côté, il y a ma chambre à coucher. Ils ont fait énormément de bruit pendant des heures, ils buvaient. Je n’arrivais pas à dormir alors j’ai ouvert la porte et vers minuit, j’ai demandé le silence. J’étais en chemise de nuit.»

Là, les dealers sont devenus fous. Ils ont hurlé : « Sale nazie, salope, casse-toi, vieille pute.» L’un d’eux s’est approché, bonnet de laine coloré sur la tête, et a craché sur la vieille dame. « Je suis rentrée en pleurant, j’ai pris trois douche. L’odeur dégoutante d’alcool et de salive, je ne l’oublierai jamais. » Elle se remet à pleurer.

«Si on arrête un Africain, la justice le libère presque immédiatement. Nous n’avons aucun recours.»

Madame Kähler a porté plainte contre l’homme en bonnet et déclaré aux policiers: « Personne ne nous protège. Nous sommes livrés sans défense à ces hommes mauvais. »

Le fonctionnaire a haussé les épaules: « Si on arrête un Africain, la justice le libère presque immédiatement. Ensuite, il est là de nouveau, continue à dealer, et nous fait un doigt d’honneur. Nous sommes comme vous, nous n’avons aucun recours. »

(source) (via PI News) [merci à Gorr pour la traduction]

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