Dejan Stankovic : “J’ai respecté tous les maillots que j’ai portés, mais celui-là, c’est le maillot de la maison. Je sens la différence. Et tous les Serbes le sentent.”
Thierry Henry : « On sait que ce ne sera pas évident face à une équipe de Serbie qui a démontré jusqu’ici qu’elle était la meilleure du groupe. D’autant plus ici, devant son public, dans une ambiance qui sera forcément hostile »
Milan Jovanovic : “Je suis prêt à donner ma dernière goutte de sueur pour gagner (…) Les Français ont raison de redouter l’ambiance, car ce sera très très chaud. Nos supporteurs chantent quatre-vingt-dix minutes durant.”
Radomir Antic (sélectionneur serbe) : « Je me sens privilégié d’être un des acteurs de ce match historique. Pour moi, ce sera plus qu’un simple match. »
Raymond Domenech : “Ce match à Belgrade n’est pas décisif. Qu’on gagne ou qu’on perde, cela ne modifie pas la suite de la compétition”.
Milica Jovanovic (journaliste sportive) : “Avant, les joueurs étaient égoïstes et se prenaient pour des stars. Désormais, Antic a instauré un nouvel état d’esprit, il est comme un père pour les joueurs. Ces derniers sont désormais conscients de jouer pour tout un peuple et pour l’image de leur pays dans le monde, un peu comme les Croates en 1998. Grâce à cela, les résultats sont très bons et les Serbes redécouvrent avec enthousiasme une équipe nationale dont ils sont fiers.”
