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Une lycéenne de 18 ans d’origine algérienne a été victime de violences aggravées de la part de sa famille, parce qu’elle refusait d’être mariée en Algérie à un homme de 30 ans.

La jeune fille qui a été enlevée et séquestrée quelques heures a eu le visage et l’abdomen lacérés par un couteau.
Les faits remontent au 4 novembre lorsque les parents de la lycéenne qui vit avec un lycéen de son âge, non musulman, parviennent à l’attirer dans la rue où elle est enlevée dans une voiture. Conduite au domicile familial, elle y subit des violences pour avoir refusé un mariage qu’on lui prévoit en Algérie.
Les auteurs présumés de l’agression sont sa mère, de nationalité algérienne et âgée de 52 ans, et ses deux soeurs mineurs, âgées de 14 et 16 ans. Interpellées en fin de semaine dernière, les trois accusées ont été déférées dimanche devant le parquet de Toulon, puis mises en examen pour “enlèvement, séquestration, violences aggravées“. Elles ont ensuite été remises en liberté
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Val-d’Oise. Jugée pour avoir tué son nouveau-né après un déni de grossesse

Une jeune femme qui avait accouché dans ses toilettes, après un déni de grossesse, et a reconnu avoir tué son nouveau-né de peur d’être mise au ban de sa famille, est jugée demain et après-demain devant les assises du Val-d’Oise. Âgée de 20 ans au moment des faits, la jeune femme célibataire, issue d’une famille musulmane pratiquante, comparaît libre pour meurtre sur mineur de moins de 15 ans. Elle encourt la réclusion criminelle à perpétuité.(…)

Elle s’est alors rendue dans la cuisine pour jeter l’enfant par la fenêtre du 3e étage. La petite fille, née légèrement prématurée, a respiré au moins pendant quinze minutes, selon l’autopsie, entre le moment où elle est née et celui où elle a été retrouvée sans vie par des badauds. Interrogé par la police, le père de l’accusée a affirmé qu’il aurait « égorgé » sa fille s’il avait eu connaissance de sa grossesse.
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