La Maison Blanche n’a pas été la seule institution secouée par l’affaire WikiLeaks. Le quotidien Libération a éprouvé les plus grandes difficultés, dans les deux semaines qui ont suivi les révélations du site fondé par Julian Assange, à définir une ligne éditoriale, préférant se réfugier derrière les opinions d’invités divers. On aura pu lire dans les pages du quotidien absolument tout, et surtout son contraire. Retour sur une tragicomédie en trois actes.
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