Fdesouche

Une quinzaine d’individus, membres des communautés égyptienne et algérienne, se sont affrontés à coups de couteau et de bâtons en pleine rue aux alentours de 18h30, selon des sources concordantes. La rixe aurait pour origine une tentative de vol survenue entre les mis en cause, qui seraient des vendeurs à la sauvette.

Les effectifs de la BRAV-M, une brigade mobile constituée de binômes à moto, ont interpellé trois suspects âgés de 17, 36 et 46 ans. Il s’agit de deux Égyptiens et d’un Algérien en situation irrégulière sur le territoire français. Un couteau a été retrouvé sur l’un d’eux. […]

Le Figaro

Nouvelle rixe entre vendeurs à la sauvette. Ce mardi, il est aux alentours de 18h30 quand la tension monte aux abords de la station de métro Porte-de-Clignancourt (XVIIIe arrondissement) sur la ligne 4 du métro. Les premiers coups sont échangés en surface mais la bagarre se déplace et se termine dans les couloirs de la station devant des voyageurs apeurés. Certains protagonistes sont armés de couteaux, d’autres de gazeuses ou de bâtons.

Les forces de l’ordre interviennent mais le calme est déjà revenu. En arrivant, ils découvrent deux hommes en sang. L’un a été poignardé au thorax. Ses jours ne sont pas en danger. Il est transporté à l’hôpital Lariboisière (Xe) pour y subir des examens. Le second a une plaie sur le crâne. Pas de pronostic vital engagé pour lui non plus. Il est conduit aux urgences de l’hôpital Bichat (XVIIIe). Tous deux seront entendus plus tard en garde à vue pour ces violences réciproques. Car s’ils sont victimes, les policiers pensent qu’ils ont aussi porté des coups.

Les agents de l’arrondissement rejoints par ceux de la Brav-M (brigade de répression des actions violentes) de la DOPC (direction de l’ordre public et de la circulation) se mettent à tourner dans le quartier en quête de suspects. Ils trouvent trois autres hommes liés à ce violent affrontement. L’un d’eux a sur lui une arme blanche. Tous sont placés en garde à vue dans les murs du commissariat du XVIIIe en charge de l’enquête.

Le Parisien

Fdesouche sur les réseaux sociaux