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Manifestation contre l’insécurité à Nantes : L’adjoint au maire, Pascal Bolo, déclare que les restaurateurs qui se plaignent « doivent faire attention à ne pas se tirer une balle dans le pied (…) en dissuadant les clients de venir » (MàJ)

02/10/2022

L’intervention de cet adjoint au maire a eu lieu avant la manifestation des restaurateurs.

01/10/22

REPORTAGE – Le rassemblement a eu lieu dans le centre-ville, après une semaine marquée par plusieurs faits divers. La maire de la ville, Johanna Rolland, demande 80 policiers supplémentaires à l’Intérieur.

« Nantes, l’insécurité, on n’en veut pas », « Des trottoirs pour marcher, pas pour se faire agresser », ou « Johanna bouge-toi », à l’adresse de la maire Johanna Rolland (PS). C’est en scandant ces slogans qu’un millier de Nantais ont défilé dans des rues du centre-ville trempées par la bruine ce samedi après-midi. Ils répondaient à l’appel du collectif Sécurité nocturne Nantes (S2N), créé en 2019 par le gérant d’un bar et un agent de sécurité. « On défend juste le droit de travailler et d’habiter dans cette ville tranquillement, avec une police municipale 24h sur 24, plus de caméras et plus d’éclairages publics », résume Guillaume Toutin, un des organisateurs. La foule est plus modeste qu’attendu mais présente des profils variés : jeunes, retraités, familles. Des élus de l’opposition municipale (LR et En Marche) et des militants du syndicat de la droite étudiante Uni se sont également mobilisés.

« Je marche contre l’insécurité, surtout pour mes petits enfants. J’ai peur pour moi et pour eux. Il y a bien plus de problèmes qu’avant, comme dans toutes les grandes villes. Avec un laxisme de la mairie et de l’État », explique dans la foule Irène, puéricultrice de 59 ans, venue avec son mari.

(…) Le Figaro





30/09/2022


27/09/2022



26/09/22




24/09/22

Après avoir subi trois agressions en trois jours, Olivia, restauratrice, lance une invitation à la maire PS Johanna Rolland pour lui montrer l’insécurité quotidienne

Cette restauratrice du quartier Bouffay, à Nantes, a vécu trois agressions entre le 13 et le 15 septembre 2022. Depuis, elle a équipé ses salariés de bombes lacrymogènes de poche et petites alarmes portatives. Sans invective, la commerçante désabusée aimerait montrer cette insécurité quotidienne en centre-ville à Johanna Rolland et trouver, avec la mairie, des moyens de protéger les employés de la nuit.

Trois agressions, trois soirs consécutifs, du 13 au 15 septembre 2022. Olivia, restauratrice du quartier Bouffay, à Nantes, livre son écœurement et son mécontentement, en restant posée et calme. « Mardi, j’ai été importunée à 2 h du matin en récupérant ma voiture au parking Feydeau. Mercredi, à 22 h 30, un de mes serveurs s’est blessé en voulant échapper à trois individus. Ils le poursuivaient pour avoir un briquet. » Cet étudiant commençait ce job le jour même…

« Venez voir un soir, Madame le maire. Je vous paie à manger… »

(…) Ouest-France


En lien :

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