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« Nous dénonçons l’ingérence et nous nous offusquons quand un pays interfère dans nos affaires intérieures, alors vous pensez bien que nous n’avons rien à voir avec la présidentielle française. » Cet officiel algérien balaie d’un geste toute idée d’une préférence – officielle – parmi les candidats à l’élection présidentielle d’avril en France. Mais il semble bien que les plus hautes autorités du pays aient opté pour « un candidat par défaut, dont la victoire sera secrètement espérée », comme le souligne le politologue et journaliste Abed Charef dans une récente analyse.

Ce candidat par défaut, c’est Emmanuel Macron, dont l’annonce de candidature pourrait intervenir la semaine prochaine. Il reste, pour Alger, le « candidat par défaut » face aux candidatures de droite et d’extrême droite […]

Le Point

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