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Depuis septembre, des bandes dépouillent régulièrement les visiteurs du musée des Confluences à tel point que des employés ont décidé de tirer la sonnette d’alarme. La situation est prise au sérieux, mais la jeunesse des auteurs, originaires des pays de l’Est, complique le travail de la police.

Direction du musée, préfecture, police, élus, ou encore Kéolis, qui exploite le réseau TCL : tous les acteurs concernés sont au courant des vols à répétition qui se déroulent devant le Musée des Confluences (Lyon 2e). Mais stopper l’activité de ces bandes organisées, avec des mineurs âgés d’à peine 12 ans, n’est pas une mince affaire. Ce phénomène quotidien inquiète des employés du musée qui ont souhaité alerter la population.

« Nous nous sentons impuissants »

Depuis des mois, ils assistent chaque jour à des vols de cartes bancaires, portefeuilles, téléphones par des bandes au niveau de l’arrêt de tramway Musée des Confluences. Selon eux, « ces groupes agissent en toute impunité et ne craignent aucune forme d’autorité ». Ils appellent les usagers à la plus grande vigilance. « Nous sommes témoins tous les jours de ce spectacle révoltant et nous nous sentons impuissants. Nous ne pouvons même pas agir par peur des représailles. Plusieurs personnes se sont fait agresser après avoir tenté… (…)

Le Progrès

Merci à Maurice

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