Fdesouche

Les ministres ont été exhortés à rendre plus difficile la libération des terroristes après que des chiffres ont révélé que plus de 90 d’entre eux sont pris en compte par la Commission des libérations conditionnelles.

Des lois d’urgence visant à bloquer la libération automatique anticipée des terroristes ont été adoptées en février 2020 après que deux attentats en trois mois ont été perpétrés par des extrémistes libérés de prison.

Les criminels terroristes doivent désormais purger les deux tiers de leur peine avant de pouvoir être libérés, et non plus la moitié comme auparavant. Leur cas doit également être examiné par la commission des libérations conditionnelles.

Il y a 92 cas de ce type, dont certains doivent passer devant les juges des libérations conditionnelles l’année prochaine. Après la révélation de ce chiffre, les députés conservateurs ont exhorté le gouvernement à renforcer davantage les règles.

Ils ont suggéré que des règles ne permettent leur libération que si ces individus ont suivi des cours de déradicalisation et peuvent prouver qu’ils n’ont pas eu d’association avec des extrémistes connus pendant une certaine période.

[…]

The London Times (accessible en un clic via une archive)

Fdesouche sur les réseaux sociaux