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Un rapport démontre qu’un petit nombre d’ONG et de fondations a pris la main sur le Conseil des droits de l’homme de l’Onu, transformé en outil d’influence au service de leur idéologie. Révélations.

En février 2020, quelques semaines avant que le coronavirus débarque sur le vieux continent et bouleverse durablement les équilibres de notre société, Valeurs actuelles consacrait un dossier au « scandale Soros ». Cette enquête, fondée sur un rapport de Grégor Puppinck, directeur du European Centre for Law and Justice (ECLJ), montrait qu’une grande proportion de juges de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) est issue du réseau d’ONG de l’Open Society Foundations. Ces magistrats ont jugé à de nombreuses reprises des affaires introduites à la CEDH par leur ancienne organisation, une situation de conflit d’intérêts qui remet en cause l’impartialité du système européen de protection des droits de l’homme. Un an après ces révélations jamais démenties, Valeurs actuelles dévoile en exclusivité un nouveau rapport du juriste Grégor Puppinck, qui poursuit la mise en lumière de l’influence croissante de certaines ONG et fondations dans les organisations internationales. Cette nouvelle enquête démontre, preuves à l’appui, comment des intérêts privés ont infiltré l’échelon le plus élevé de protection des droits de l’homme à l’échelle mondiale : le Conseil des droits de l’homme des Nations unies.

(…) Valeurs Actuelles

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