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Vous avez mis fin à votre contrat avec Huawei, apporté votre soutien à Samuel Paty, Arnaud Beltrame ou au producteur de musique Michel Zecler victime de violence policière en déclarant «J’ai mal à ma France». Êtes-vous attentif aux critiques à la suite de vos prises de position?

Oui, ça m’avait rendu triste que les policiers ou les associations pensent que je mettais tout le monde dans le même sac, quand j’ai écrit ça. Jamais de la vie je n’ai été contre les forces de l’ordre, bien au contraire. Je suis bien conscient que leur métier est difficile, qu’ils en prennent parfois plein la figure dans certains quartiers et personne n’en parle. À mon petit niveau, j’essaie de donner le bon exemple et si je peux prendre position pour mettre le curseur sur certains sujets, pourquoi pas. Je suis français, tout ce qui se passe dans mon pays m’intéresse et des images peuvent choquer. Ma parole est écoutée, mais je dois faire attention à comment l’utiliser. Forcément, je ne peux pas répondre ou me positionner sur tous les sujets, je reste aussi à ma place.

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Le Figaro

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