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Le débat autour d’un cursus radical d’” ethnic studies ” au lycée révèle l’influence grandissante de la ” théorie critique de la race ” en Californie et ailleurs. Plusieurs écoles américaines encouragent déjà les élèves à tout analyser sous un prisme identitaire et à diviser le monde entre oppresseurs et victimes. Ce qui soulève des protestations… Y compris dans le camp progressiste.

En août 2020, dans la foulée des manifestations antiracistes qui ont suivi la mort de George Floyd, le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a adopté une loi qui oblige les étudiants de 23 universités publiques de l’État de suivre un cours d’” ethnic studies ” (études ethniques) pour obtenir leur diplôme. Le texte de loi définit les ethnic studies comme l’” étude interdisciplinaire et comparative de la race et de l’ethnicité”, avec l’accent mis sur quatre groupes ” historiquement racialisés ” : ” les Amérindiens, les Afro-Américains, les Asio-Américains et les Latino-Américains “.

La direction de Cal State – nom de ce réseau d’universités – était opposée à cette mesure, jugeant qu’il s’agissait d’une ingérence problématique dans les affaires de la fac.Peu après, une autre proposition de loi a été soumise au gouverneur de Californie, avec pour objectif de rendre les cours d’ethnic studies obligatoires dans tous les lycées publics de l’État. Depuis 2016, un modèle de cours sur le sujet était déjà en développement pour les écoles, mais son contenu était tellement orienté…  […]

news.yahoo/Marianne

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