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Depuis fin novembre 2020, Recep Tayyip Erdogan cherche l’apaisement avec l’Union européenne, du moins avec les États membres qu’il juge les mieux disposés à l’égard d’Ankara. C’est le cas de l’Allemagne d’Angela Merkel. Il y a une dizaine de jours, la chancelière s’était opposée à ce que les dirigeants européens sanctionnent lourdement la Turquie pour ses recherches de gaz en Méditerranée.

Un « agenda positif »

Recep Tayyip Erdogan dit souhaiter une « nouvelle page » avec l’Union européenne. Il parle de recréer un « agenda positif ». Le terme date en fait de 2012, quand Ankara et Bruxelles avaient tenté – sans succès – de relancer des négociations d’adhésion qui étaient déjà au point mort. L’accord migratoire signé en mars 2016 avait permis de renouer le dialogue, mais la répression qui a suivi la tentative de putsch de l’été 2016 en Turquie avait enterré ces efforts.

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L’article dans son intégralité sur RFI

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