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02/12/2020

Le verdict est tombé aux assises de Pau ce mercredi soir : Ansar Akhondi est reconnu coupable de tous les faits qui lui sont reprochés et condamné à 18 ans de réclusion criminelle. Il sera également reconduit dans son pays d’origine dès que sa peine sera purgée.


01/12/2020

Il devait quitter la France une quinzaine de jours plus tard. Mais ce 13 octobre 2017, Ansar Akhondi est à Oloron où il est arrivé huit mois plus tôt. Là, dans son immeuble de la rue Révol, le migrant afghan d’une vingtaine d’années est accusé d’avoir poignardé sa voisine de palier âgée de 79 ans, au moment des faits.

(…) L’accusé, cheveux noués sur la nuque, barbe fournie et tee-shirt foncé avec l’inscription « Paris » donne ses réponses de mauvaise grâce, se montre agacé, tente quelques phrases en français avant de s’en remettre à son interprète.

« Mauvaises paroles »

« Dans l’appartement, j’ai entendu une voix disant que ma mère était une pute. Je m’étais bagarré un peu avant avec un des colocataires, a-t-il raconté lors de son interrogatoire sur les faits. (…) la porte de la voisine était ouverte. J’ai pris un couteau et elle a dit de mauvaises paroles. Le couteau est parti seul. » Il explique alors porter un premier coup puis s’être défendu : « C’est elle qui m’a attrapé et a voulu m’étrangler ». Il décrit deux coups au visage et au thorax, en reconnaît finalement « quatre à cinq mais pas plus ». Loin des 20 plaies recensées sur le corps de la victime.

(…) Près de lui, la victime en fauteuil roulant pleure en silence, dans son masque. Mais elle a tenu à rester lorsque des photos de la scène de crime ont été diffusées et commentées par le technicien en identification criminelle.

Il veut retourner en Afghanistan

(…)

Sud Ouest


30/11/20

Un migrant afghan sera jugé à partir d’aujourd’hui pour avoir donné plusieurs coups de couteau à sa voisine de 79 ans le 13 octobre 2017, à Oloron-Sainte-Marie.

Sud Ouest

Elle ouvrait aisément sa porte à ceux qui se trouvaient dans le besoin. Dans son appartement d’Oloron-Sainte-Marie, rue Révol, la voisine de quatre demandeurs d’asile afghans est devenue bien malgré elle un défouloir. Vendredi, vers 18 heures, l’un de ses voisins de palier, Ansar, 19 ans, lui a porté plusieurs coups de couteau. Grièvement blessée au thorax et au larynx…

(…) Sud Ouest


14/10/17

Le réfugié afghan qui a agressé une Oloronaise de 79 ans ce vendredi était connu pour des problèmes psychiatriques. Sa garde à vue à la gendarmerie d’Oloron s’est poursuivie jusqu’à 4 heures du matin.

On en sait un peu plus sur l’homme d’une vingtaine d’années qui a donné plusieurs coups de couteau à une femme de 79 ans dans un appartement de la rue Revol, ce vendredi. Selon nos informations, ce réfugié afghan, hébergé au premier étage du Bialé par l’Ogfa, bénéficiait d’un suivi psychiatrique. “Ce n’est pas normal que l’Etat ne nous ait pas mis au courant de l’état instable de cet homme”, estime le maire d’Oloron Hervé Lucbéreilh. “Il faudra vérifier l’itinéraire qui a conduit cet homme jusqu’à Oloron, puisque son trajet semble bien différent de celui des autres migrants afghans.”

“Il faut être clair, ce qui s’est passé vendredi soir n’est en rien représentatif de ce que nous vivons au jour le jour avec nos migrants qui sont encadrés par plus de 120 bénévoles du comité Pour”, explique le maire d’Oloron.

(…) La République des Pyrénées


Un réfugié afghan d’une vingtaine d’années a poignardé une femme âgée de 79 ans alors qu’elle se trouvait à son domicile. Le jeune homme a été arrêté par les gendarmes d’Oloron.

Son geste pourrait-être lié au refus récent de sa demande d’asile, estime Hervé Lucbéreilh.

Il était environ 18h30 vendredi soir quand l’homme, un réfugié afghan âgé de 19 ans, s’est présenté au domicile de cette dame, âgée de 78 ans. Il vivait à côté de chez elle, dans un appartement prêté par l’Ogfa, l’organisme de gestion des foyers de l’amitié. Ils étaient voisins, ils se voyaient régulièrement. Il serait entré chez elle, et lui aurait asséné plusieurs coups de couteau. On ne sait pas pourquoi pour l’instant. Ce sont les colocataires de cet homme, des réfugiés eux aussi, qui ont prévenu les gendarmes selon La république des Pyrénées, qui révèle le drame ce matin. L’homme a été interpellé dans la rue.

France Bleu

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