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Du côté de l’administration, on se défend d’avoir « abolit » l’enregistrement dans cette période de crise. « Il y a des personnes qui sans doute sont en difficultés mais le nombre est extrêmement faible, on essaie de les gérer au cas par cas, car la pression des flux migratoires est beaucoup moins forte » explique Didier Leschi, Directeur général de l’Ofii. « C’est un problème théorique qui a en réalité peu d’incidences » ajoute le haut fonctionnaire joint par Le Parisien. Sur le terrain, en effet les principaux flux d’arrivées de demandeurs d’asiles sont taris avec la fermeture des frontières, des aéroports et des ports, y compris de nos voisins européens comme l’Italie et l’Espagne.

(…) Le Parisien

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