L’association s’est émue sur Twitter d’une prétendue affaire de pneus crevés visant les véhicules de femmes voilées sur un parking de Strasbourg. Mais invité à renseigner la source d’une telle information, le collectif a fini par supprimer ses tweets. Un aveu ?
[…]
Non, juste une réclamation (tout à fait légitime) de la part d’@AutoPlusMag concernant les droits de l’image du pneu crevé qui nous a servi pour le montage d’illustration. L’auteur de ces dégradations sera jugé à Strasbourg dans les mois qui viennent. Invitation vous sera envoyée
— CCIF (@ccif) February 2, 2020