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07/01/2020

Le juge a décrété la libération provisoire sans caution pour les trois jeunes Afghans arrêtés pour avoir violé trois sœurs américaines la nuit du Nouvel An.

Des sources judiciaires ont expliqué que le juge a établi des mesures de précaution : l’obligation de se présenter au tribunal chaque semaine, le retrait du passeport et l’interdiction de s’approcher des trois jeunes femmes âgées de 18, 20 et 23 ans.

Deux des trois jeunes Afghans ont récemment obtenu l’asile politique. Le troisième suit une formation professionnelle à Murcie et possède un titre de séjour.

(…) Les deux réfugiés politiques ne peuvent pas être expulsés du pays à cause de leur statut. “Ils ne peuvent pas être expulsés parce qu’ils ont des droits de réfugiés, leur situation exceptionnelle ayant été reconnue dans leurs dossiers après des entretiens et la collecte de diverses données”, selon des sources gouvernementales. “Cependant, leur situation en Espagne pourrait changer en fonction de l’évolution des procédures judiciaires”.

RTVE.es / El Mundo / El Espanol


05/01/2020

Espagne – Les agresseurs et leurs victimes se sont rencontrés dans un bar de Murcie le soir du Nouvel An, et plus tard dans la nuit se sont rendus dans deux appartements où les agressions ont eu lieu.

La police espagnole a arrêté trois hommes soupçonnés d’avoir violé et agressé sexuellement trois sœurs américaines le soir du Nouvel An dans la ville de Murcie, au sud-est de l’Espagne. Les victimes présumées, âgées de 23, 20 et 18 ans et originaires de l’Ohio, ont signalé le viol aux autorités, déclenchant une chasse à l’homme qui a duré environ 24 heures jusqu’à l’arrestation des suspects.

Les trois femmes ont rencontré les hommes dans un pub le 31 décembre. Une des sœurs est partie avec un des hommes pour se rendre chez lui. Les deux autres sont restées dans le bar jusqu’à leur départ avec les deux hommes restants. Ils se sont dirigés vers l’appartement où logeaient les Américaines et prévoyaient de poursuivre leurs célébrations du Nouvel An. Les femmes ont déclaré avoir été violées par ces individus qui, selon des sources de la délégation du gouvernement central à Murcie, sont d’origine afghane.

Selon La Opinón de Murcia, deux des femmes ont été violées par voie vaginale et les agresseurs présumés n’ont pas utilisé de préservatifs. Ainsi, les preuves ADN pourront potentiellement étayer le récit de ces victimes. La troisième femme, selon le même journal, n’a pas été violée par voie vaginale, mais a été agressée sexuellement et battue.

(…) Une des sœurs vivait à Murcie pendant ses études universitaires et devait retourner jeudi aux États-Unis. Les deux autres rendaient visite à leur sœur.

El Pais

 

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