La ministre a visité ce village humanitaire de 400 lits unique en son genre avec son école de quatre classes et son pôle santé exclusivement dédié aux couples et mères seules.
S’afficher aux côtés des bons élèves et piocher leurs idées « pour les essaimer, pourquoi pas à Toulouse, ou au Pays basque. »
[…]« Depuis son ouverture, en janvier 2017, près de 3 200 personnes en ont bénéficié, dont 1 235 enfants. Aujourd’hui 437 personnes y vivent, dont 167 enfants »
[…]Les larges coursives entre les logements sont de véritables lieux de vies et chaque appartement est modulable, en fonction de la famille qui l’occupe. Une architecture récompensée par deux prix en 2018.
L’article dans son intégralité sur Le Parisien
