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Pendant le parcours migratoire, les étrangers venant vivre en France restent de moins en moins bien soignés. Exposés à des conditions d’hygiène insuffisantes, ils se trouvent fortement exposés aux risques de contamination par le VIH/SIDA et les infections sexuellement transmissibles. Mais dans quel sens évolue la loi pour favoriser leur prise en charge en France? […]

« La prévention, le dépistage et le suivi médical anticipé restent insuffisants auprès des étrangers vivant en France », explique le Conseil national du sida et des hépatites virales (CNS). Cette approche, indissociable de la politique de réduction des risques, est le gage « d’un dépistage précoce, d’une prise en charge rapide des infections ». Et plus largement « d’une prévention efficace des transmissions secondaires ainsi que d’une limitation des coûts associés aux complications de l’infection par le VIH quand elle est traitée tardivement ».

Les étrangers vivant ou arrivant en France en provenance d’Afrique subsharienne, des pays de l’est et zones en conflit sont les plus touchés par le VIH, le VHB et le VHC. Et de nombreuses femmes migrantes originaires d’Afrique contractent le VIH une fois arrivées en France faute de conditions de vie dignes.

La Dépêche

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