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François Hollande a posé mardi la première pierre de la future usine pharmaceutique du groupe LFB à Bailleul-Sire-Berthoult, près d’Arras, dans le Pas-de-Calais. Un investissement de 300 millions d’euros avec, à la clé, l’embauche de près de 500 personnes sur cinq ans, rendu possible grâce à un article de la loi Macron ouvrant le capital de LFB, détenu à 100 % par l’État, à des organismes publics, a défendu le Président.

Ce n’était pas facile de convaincre“, a rappelé le chef de l’État; “il y avait des esprits qui pensaient qu’on allait faire le privatisation de LFB”.

Il y a toujours des esprits un peu tourmentés ou inquiets, il y en a beaucoup d’esprits tourmentés et inquiets quand on y réfléchit bien. Moi j’essaie de les apaiser, je fais ce que je peux, mais il y en toujours qui essaient de voir du noir là où quelque fois je n’ose pas dire qu’il n’y a que du rose mais il peut y avoir du blanc“,

a-t-il développé dans une longue digression alors qu’il essaie en vain de calmer la gronde dans la rue et dans sa majorité sur la loi Travail.

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