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L’écrivain proche de l’extrême gauche, qui est né et habite en Seine-Saint-Denis, s’inquiète de la progression de l’influence salafiste dans le département face à des élus “démunis”. Et dénonce l’influence néfaste du Parti des Indigènes de la République (PIR).

La Seine-Saint-Denis, Didier Daeninckx connaît très bien. Né à Saint-Denis, habitant d’Aubervilliers, l’écrivain s’inquiète de la progression de l’islamisme dans son département. […] “Il y a cette réalité qui a été énormément niée et évitée du regard”, explique celui qui s’inquiétait déjà, dans une tribune publié dans  en mars dernier, de l’évolution de son quartier :

“En ce qui me concerne, depuis trois ans, ici, j’ai vu les corps s’éloigner, les embrassades se raréfier, les barbes et les voiles pousser, les regards s’aiguiser, les murs s’élever. Il a fallu s’habituer à croiser des imams rétrogrades installés dès le petit matin dans les commerces, pour y faire pression sur les fidèles.”

“Il y a des associations de femmes qui se battent pour venir occuper des places en terrasses”, raconte Didier Daeninckx au micro de France Inter. Il poursuit : “A Saint-Denis, il y a l’université, et il y a une influence assez importante d’un parti que je considère comme un parti raciste, le Parti des Indigènes de la République (PIR), qui a une très forte influence même sur les élus dans les banlieues.” Créé en 2005, le PIR est adepte d’une vision raciale de la société et du philosémitisme d’Etat, et sa porte-parole Houria Bouteldja cache à peine son racisme, sa misogynie et son homophobie…
“Une partie des élus ont complètement cédé, ont baissé les bras et ont passé des alliances clientélistes”, poursuit Didier Daeninckx. L’écrivain pointe notamment une tribune publiée début avril dans par le maire PCF de Saint-Denis, Didier Paillard. […]
Marianne
Merci à Lilib

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