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Le premier ministre a ouvert le débat, sans vote, au Parlement sur les probables interventions des forces aériennes en Syrie. Il a assuré que la France choisirait «seule» les «objectifs à frapper» et qu’il était «hors de question» que ces frappes contribuent à renforcer le régime syrien.

Manuel Valls a en outre affirmé que la France choisirait «seule» les «objectifs à frapper» en Syrie et qu’il était «hors de question» que ces frappes contribuent à renforcer le régime du président syrien Bachar el-Assad. «L’urgence est de trouver une solution diplomatique qui tournerait définitivement la page des crimes d’Assad», a indiqué le premier ministre. […]

Plusieurs responsables devaient par ailleurs dénoncer «les incohérences et l’inconstance» du gouvernement dans le dossier syrien. Christian Jacob, député-maire LR de Provins (Seine-et-Marne), estime qu’on «ne peut intervenir qu’avec un mandat du Conseil de Sécurité de l’Onu et avec l’accord des grandes puissances régionales. On ne peut rien faire sans les Russes, mais aussi sans l’Arabie saoudite, la Turquie et même l’Iran», a-t-il insisté. Pour Jacob, «la voix de la France a été inexistante».

L’ancien ministre a accusé le chef de l’État d’avoir «laissé la chancelière allemande agir seule». Selon lui, il faut envisager un «Schengen 2», au motif que «la libre circulation des extra-communautaires doit se poser aujourd’hui». […]

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