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Extraits du discours de la présidente du FN, Marine Le Pen en clôture de l’université d’été du parti, à Marseille (Bouches-du-Rhône).

“La cohésion d’un peuple est un élément fondamental de la vie d’une nation. Pourquoi personne à part nous n’est là pour le défendre à part nous ? lance Marine Le Pen qui parle de destruction migratoire et de “déconstruction de l’identité nationale”.

“Nous n’avons ni les moyens de les soigner, ni de les employer. L’immigration n’est pas une chance, c’est un fardeau. Elle ne ressemble pas à celle qu’à connu notre pays au siècle dernier. C’est une immigration économique qui pèse à la baisse sur nos salaires, nuit à la cohésion du peuple, pèse sur le système de santé”, fustige l’eurodéputée.

“Nous mettrons l’islam radical à genoux au bénéfice de l’ensemble de nos compatriotes, y compris nos compatriotes musulmans que nos dirigeants voudraient voir confondus avec les islamistes radicaux”.

“Nous demandons la fermeture immédiate des mosquées radicales ! (…) Nous demandons l’expulsions des immigrés fichés pour leurs liens avec l’islamisme ! (…) Nous demandons la laïcité partout, à l’école, dans les universités, dans les crèches, les signes religieux doivent rester à la porte de l’entreprises (…)” “Plus aucun arrangement, plus aucuns scrupules. Il n’est pas question d’adapter le calendrier chrétien aux particularismes communautaristes !

“Il existe en France une majorité silencieuse qui pense qu’une autre politique est possible et souhaitable (…) Ce pouvoir tient debout parce que le peuple ne dit rien. Sans l’assurance de la majorité il n’a plus de pouvoir. Le jour où la majorité reprendra la parole approche, nous serons à ses côtés.”, assure Marine Le Pen.

“Nous sommes prêts à gouverner car nous avons conscience de l’enjeux, car nous nous préparons sans cesse. Avec cette université d’été, une page se tourne. Car le monde change (…) Ce monde où il ne s’agit plus de faire vivre notre identité mais de la défendre, délitée par l’idéologie mondialiste et multiculturaliste, ce monde où le bonheur des peuples se mesure aujourd’hui à la structure de leur consommation.”

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