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06/05/15

Prison ferme pour l’agresseur du “violeur des balcons”
Le 2 avril dernier, au Pontet, Abdelhamid Zouhari avait été violemment frappé par un autre détenu. Ce dernier a écopé de 18 mois supplémentaires […] Le 2 avril dernier, vers 17 heures, de retour d’un parloir, Abdelhamid Zouhari n’a pas vu son agresseur arriver. Un violent coup de poing lui a été asséné sur la joue gauche. Mâchoire et arcade sourcilière fracturées. Reprenant conscience, il a indiqué que le détenu qui l’avait mis dans cet état portait un tee-shirt noir avec la célèbre marque au petit crocodile…
Un témoin a entendu : “Je comptais lui mettre deux ou trois pêches, mais je vais lui en mettre dix ! C’est un violeur ce type !” Ce témoignage, mais aussi celui d’un détenu et d’un surveillant ont conduit à Malik Kebbour. À 27 ans, ce prévenu placé en détention provisoire pour un vol à main armée, a déjà été condamné à 17 reprises. Ce soir-là, il revenait lui aussi du parloir. […] Source


04/04/15

Incarcéré à la maison d’arrêt du Pontet depuis son arrestation le 7 janvier dernier, Abdelhamid Zouhari a été victime d’une violente agression jeudi soir. Alors que cet homme âgé de 31 ans accusé de viol et tentative de viol sur neuf victimes, regagnait sa cellule après un parloir, un autre détenu s’en est pris à lui dans les coursives. Le temps qu’un gardien s’aperçoive de ce qui se passe et intervienne, Abdelhamid Zouhari a été roué de coups.

Inconscient et souffrant d’une fracture de la machoire, il a été pris en charge à l’unité pénitentiaire médicalisée de l’hôpital Nord de Marseille, où il devrait rester plusieurs semaines. On ne sait pas pour l’instant ce qui a provoqué l’agression mais déjà Patrick Gontard, l’avocat d’Abdelhamid Zouhari, pointe la responsabilité de l’administration pénitentiaire qui n’a pas fait droit à la demande de son client d’être mis à l’isolement : “C’est inadmissible quand on sait que les violeurs sont régulièrement victimes de brimades en prison et que l’affaire dans laquelle il est impliqué avait été très médiatisée. J’ai demandé des comptes et j’envisage une poursuite en responsabilité”.
(…) La Provence
(Merci à Julien271)


16/03/15


Il se comportait comme “un violeur gentleman”, disent les policiers qui ont travaillé sur cette affaire. Au gré de ses instincts, celui que les médias ont surnommé “le violeur des balcons” a agressé une dizaine de femmes, laissé derrière lui neuf victimes de viols ou tentatives de viols, des femmes âgées de 18 ans à une quarantaine d’années. Il s’en prenait à elles en pleine nuit, durant leur sommeil, ou au petit matin. Surgissait telle une araignée, en passant par les balcons et les fenêtres laissées ouvertes. Une fois à l’intérieur et ses victimes sous sa coupe, il “prenait largement son temps”, indiquait une fiche de renseignements policiers à l’été dernier.
Depuis le 7 janvier dernier et l’annonce de l’interpellation passée inaperçue d’Abdelhamid Zouhari, le jour de l’attaque de Charlie Hebdo, l’épais dossier s’est refermé presque sans bruit sur le bureau des policiers de la PJ d’Avignon et de l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP). La chute du violeur des balcons était pourtant attendue. Voilà près d’un an et demi que les policiers avignonnais traquaient sans relâche le suspect de cette affaire qualifiée de “sensible”.
(…) La Provence


8/01/15

(…) L’homme s’appelle Abdelhamid Zouhari. Il vit séparé de la mère de ses deux enfants en bas âge dont il avait la garde. Il était actuellement logé chez ses parents dans un quartier d’Avignon. Employé dans une société d’Agroparc, pendant plusieurs années, il y était chargé de l’expédition et de la préparation des commandes. Mais à l’été 2013, une rupture conventionnelle avait mis fin à son contrat. C’est à la même période qu’est intervenue sa rupture conjugale.
Si l’homme reste encore présumé innocent, le procureur a souligné la facilité avec laquelle le suspect est passé aux aveux. « Des déclarations fleuve ! » a précisé le procureur. Avec force détails « sur les lieux, l’ameublement, le physique de ses victimes » même, toujours selon Bernard Marchal, l’homme a ainsi avoué les 6 viols et trois tentatives de viol pour lesquels il est mis en cause, dont un à Sorgues et un à Aix-en-Provence. (…)
Source

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