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C’est une sorte d’effet papillon. «Chaque arrivée massive de réfugiés sur l’île italienne de Lampedusa se traduira dans les semaines à venir par de nouvelles tentes plantés à la station La Chapelle, sous une portion aérienne du métro», prédit Mohamed Majidi, directeur d’établissement à France Terre d’asile.
A trois ou quatre par tente


Ce mardi matin, une centaine de ces tentes qu’on déploie en quelques secondes s’étirait le long du pont. «Dedans, on dort à trois ou quatre», précise Omar*, 35 ans, entouré de quatre réfugiés, soudanais comme lui. Les nuits se passent à même le sol, dans le froid et avec le métro qui passe au-dessus des têtes dans un bruit assourdissant. Quant aux toilettes, «c’est contre le mur, désigne Abdelkader, réfugié tunisien, en pointant l’un des piliers du pont. La mairie le nettoie tous les jeudis.»
(…) 20minutes.fr

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