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Yves-Marie Laulan, ancien président du Comité économique de l’OTAN sur l’islamisation de la France.

Les pouvoirs publics, ayant inconsciemment enfanté un monstre par leur laxisme, leur aveuglement et leur inertie, se sentent aujourd’hui totalement dépassés par leur créature et incapables de la maîtriser.

On ne le dira jamais assez : l’islamisation de la France, et son sous-produit l’islamisme, sont d’abord et avant tout un phénomène de masse, un problème quantitatif. C’est une question de chiffre, de nombre, de masse.

L’islamisation de notre pays est donc avant tout, qu’on le veuille ou non, un phénomène démographique, les conversions à l’islam étant statistiquement en nombre infime. Cette réalité démographique, que l’on peut déplorer ou célébrer, s’inscrit dans les statistiques de la population française.
Mais il faut quand même savoir que pendant 30 à 40 ans, cette réalité a été soigneusement occultée, tronquée, dissimulée par les deux institutions administratives chargées de suivre l’évolution de la population de notre pays, à savoir l’INSEE et surtout l’INED.
Pourquoi les statisticiens et les démographes travaillant au sein de ces deux administrations ont-ils agi ainsi ? L’on peut se perdre en conjectures sur les motivations de ces agents de l’État. Mais, en fin de compte, il faut se résigner, faute de mieux, à y voir la conséquence d’un certain gauchisme intellectuel pervers.
Or, si la quasi-totalité des musulmans sont loin d’être des extrémistes , leur nombre grandissant ne peut qu’à la longue constituer un terreau, un milieu d’accueil propice dans lequel l’extrémisme islamique peut s’implanter aisément du fait même de leur masse.
Aujourd’hui, avec l’apparition d’un terrorisme tous azimuts, évidemment inspiré par une interprétation forcenée de l’islam, le nouveau mot d’ordre, le nouveau buzz, le nouveau slogan, faute de pouvoir faire mieux , est «padamalgam» et «pasdestigmatisation». Le malheur veut que dans l’histoire du monde, on n’ait jamais vu l’islamisme se modérer de lui-même et s’accommoder des règles d’une démocratie moderne, ouverte et tolérante. […] bvoltaire

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