Fdesouche

Quatre sont partis ces dernières semaines mais combien partiront encore ? Selon nos informations, les candidats à “Disneyland”, comme ils l’appellent, seraient quelques-uns dans les quartiers sensibles de Guyancourt, La Verrière et bien entendu, Trappes. Djamel* fait partie de ceux qui ont failli partir.

Ami de Mohamed, l’un des quatre jihadistes de Trappes, il reconnaît qu’il aurait «pu suivre». «Au départ, ils voulaient y aller pour apprendre le Coran. Puis rapidement, ils ont parlé de jihad. On a fini par s’embrouiller. Pourtant, ni les uns, ni les autres n’étaient là-dedans au départ. Mohamed faisait du rap, Mansour était animateur, Sofiane était étudiant. Pour moi, tout cela vient de leur fréquentation de la petite mosquée du square de La Commune-de-Paris (à Trappes).» […] À Trappes, la municipalité a monté une cellule de crise. Le maire, Guy Malandain (PS) devait recevoir ces jours-ci les familles des jeunes jihadistes. Et visiblement, c’est la panique à bord. Deux cents jeunes seraient sur le point de partir.
D’autant que selon nos renseignements, les deux jeunes qui ont fait exploser un hôtel, au Liban, au printemps dernier, étaient également originaires de Trappes. Déjà en octobre, quatre jeunes de Montigny-le-Bx étaient partis avec 25 000 euros et la ferme intention de partir faire le jihad. Ils avaient prévenus leur parents une fois arrivés en Espagne. Ces derniers mois, une soixantaine de personnes ont quitté les Yvelines pour se rendre en Syrie. […] Source
Alerte rouge à Trappes. Deux jeunes de 19 et 20 ans auraient quitté la ville pour se rendre en Syrie pour faire le jihad. Mohamed et Mandsour seraient partis dans la nuit du vendredi 16 au samedi 17 janvier. Leur absence n’a été signalée que dans la soirée du mardi 20 janvier.
Mohamed travaille pour la mairie de Trappes. Il a été recruté voici quatre mois pour rejoindre l’équipe périscolaire en charge de la garde des enfants. […] Source

Fdesouche sur les réseaux sociaux