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Lundi 19 août, un jeune homme a été tué par balle à Marseille, dans le quartier de l’Estaque, probablement victime d’un règlement de comptes. Quelques heures plus tôt, un jeune homme mourrait à la suite de blessures au couteau, reçues dans une rixe au sortir d’une boîte de nuit.
La réaction politique n’a pas tardé avec l’arrivée dans la ville du premier ministre accompagné de cinq ministres. Le déplacement paraît exceptionnel et l’annonce d’ampleur : 24 policiers d’investigation et une compagnie de CRS sont promis pour rétablir l’ordre et la sécurité. Mais la mesure a un goût de déjà-vu.

Marseille, meurtres et renforts : le déjà-vu

Les mots sont les mêmes qu’un an plus tôt quand, le 29 août 2012, un homme de 25 ans avait été tué par une rafale de Kalachnikov. C’était déjà Jean-Marc Ayrault qui réagissait. En mai 2011, c’était Claude Guéant. Et en novembre 2010, Brice Hortefeux. Le Monde

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