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Le discours se termine au son de l’Internationale, poing levé pour la moitié (communiste ?) de la foule. Suivie de La Marseillaise, sous les sifflets et les huées d’une partie de l’assemblée. Les autres chantent.

Rue89

Contrairement aux assertions de Rue89, il ne semble pas que la Marseillaise ait été sifflée…En tout cas, pas de manière significative.


Le patron du front de Gauche Jean-Luc Mélenchon réunit ses sympathisants place de la Bastille aujourd’hui. Le but : faire plier Hollande. Comme au printemps 2012, date à laquelle il avait créé la surprise par l’ampleur de son meeting en pleine campagne électorale, Jean-Luc Mélenchon veut plus que jamais faire entendre sa voix dans le débat politique. Extraits de son discours. Il revendique 180 000 manifestants.

La manifestation «contre l’austérité, contre la finance et pour une VIe Républiquev du Front de gauche a réuni dimanche 30.000 participants à Paris, selon la préfecture de police de Paris (PP) qui ne donne pas habituellement de chiffrage des manifestations politiques. Le Parisien

«Avec Mélenchon, un vrai changement inchallah» (Slogan sur une pancarte)

Libération (Merci à Roger Heurtebise et Carabot)

 

«Le principal pourvoyeur de voix de droite et d’extrême-droite est à l’Elysée».

15h10. Le cortège démarre vers Nation.

15h10. Eva Joly sur BFM TV : «Le fait d’être allié au gouvernement crée des obligations pour les deux parties, mais les écologistes n’ont pas leur part». «Il ne faut pas céder sur le nucléaire, enchaîne-t-elle. Je vais avec mes collègues européens voter contre le budget.»

15h06. «Vive la République, vie la sociale, vive la France», lance en conclusion le coprésident du Parti de gauche, avant que la foule n’entonne l’Internationale.

« «Nous n’acceptons pas les politiques d’austérité qui vouent les peuples d’Europe à une souffrance sans fin».

15h05. Sans citer le nom du président de la République, le fondateur du Parti de gauche a brocardé le «petit monarque hors de tout contrôle» mis en place par les institutions de la Ve République, symbole d’une «monarchie verticale qui permet à la finance d’étendre ses tentacules». «C’est pour en finir avec ce système que nous appelons à une assemblée constituante» pour instaurer une VIe République, a-t-il dit. Jean-Luc Mélenchon a appelé à une «insurrection» pour «mettre un terme à ces politiques» d’austérité «qui nous conduisent au désastre (…)», et a mis en avant le principe de «la souveraineté du peuple français» qui doit prévaloir face aux institutions européennes et au Fonds monétaire international.

14h56. Mélenchon : «Nous n’avons pas changé d’avis, nous ne voulons pas de la finance au pouvoir, nous n’acceptons pas les politiques d’austérité». Avec deux oeillets rouges à la boutonnière, un foulard rouge autour du cou, Jean-Luc Mélenchon accuse François Hollande et les siens de ne pas respecter leurs engagements de la campagne présidentielle.

Le Parisien

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