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Maire d’une commune depuis dix-sept ans, m’entretenant régulièrement avec de nombreux collègues, je ne peux que confirmer l’importance de ce racisme « anti-blanc » ou « anti-européen » ou « anti-français »,

peu importe le nom qu’on souhaite lui donner, mais dont les victimes sont des personnes dont le seul tort est d’être minoritaires dans un quartier, une cité, un immeuble

. Ici, c’est un couple qui visite un appartement dans une cité HLM et qui se fait traiter de « sales Français » avant de découvrir, au moment du départ, un pneu crevé sur sa voiture, là ce sont des retraités qui, le jour d’une élection, n’osent pas aller voter car au bas de leur immeuble une bande leur interdit de sortir. Parfois, ce sont des citoyens tentant de s’intégrer qui sont persécutés par leur propre communauté. On pourrait multiplier les exemples.
La cause principale et directe de ce racisme est le développement du communautarisme qui, dans certains quartiers, encourage la persécution de populations françaises devenues minoritaires, créant ainsi d’inquiétantes situations de pré-libanisation.
Dans ce contexte, il devient nécessaire de se pencher sur le fonctionnement de la lutte contre le racisme en France et notamment sur le financement public des associations de ce type. En effet, il est permis de s’inquiéter lorsque l’on voit le déni de réalité de certaines d’entre elles comme SOS-Racisme. Que font ces associations pour lutter contre le racisme antifrançais ? Quelles actions publiques mettent-elles en oeuvre ? Pour le savoir, Jacques Bompard interrogera en séance publique la semaine prochaine le Premier ministre et demande, d’ores et déjà, la constitution d’une commission d’enquête sur les associations dites antiracistes vivant des subventions publiques. »
Chrétienté.info

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