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Addendum du 08/10/2011

Le texte publié par erreur comme quatrième de couverture du livre “Le Grand Remplacement” était en vérité rédigé par les responsables de la maison Reinharc et destiné à ses représentants, en raison de difficulté à présenter le livre. Il est désormais remplacé par la bonne “quatrième de couverture”.

Un point mérite d’être repris et souligné : la véritable position de Renaud Camus aujourd’hui au sujet du Front National est la suivante : impossibilité de voter en son temps pour Jean-Marie Le Pen malgré l’hommage qu’on doit à sa clairvoyance ancienne, expectative quant à la suite de l’histoire du Front national sous une autre présidence.»

Renaud Camus publie coup sur coup deux livres ces jours-ci : Le Grand Remplacement (D. Reinharc), et Décivilisation (Fayard), qui forment un triptyque avec La grande Déculturation et qui achèvent de poser les bases de l’analyse politique à l’origine de son engagement dans la campagne en vue des présidentielles de 2012.

Le Grand Remplacement, par Renaud Camus

Le Grand Remplacement :

Présentation de l’éditeur

« Pouvez-vous développer le concept de Grand Remplacement ?

— Oh, c’est très simple : vous avez un peuple et presque d’un seul coup, en une génération, vous avez à sa place un ou plusieurs autres peuples. C’est la mise en application dans la réalité de ce qui chez Brecht paraissait une boutade, changer de peuple. Le Grand Remplacement, le changement de peuple, que rend seul possible la Grande Déculturation, est le phénomène le plus considérable de l’histoire de France depuis des siècles, et probablement depuis toujours. »

Renaud Camus (entretien pour Le Nouvel Observateur)

Ce livre réunit, outre le bref entretien cité ci-dessus, trois allocutions prononcées par Renaud Camus — la première, “Le Grand Remplacement”, à Lunel le 26 novembre 2011 ; la deuxième, “La Nocence, instrument du Grand Remplacement”, à Paris le 18 décembre suivant, lors des Assises sur l’islamisation ; la troisième à l’Assemblé nationale, salle Lamartine, le 6 janvier 2011, à l’occasion des États généraux de l’Indépendance : “Que peut être une pensée libre aujourd’hui ?”.

Biographie de l’auteur :

Renaud Camus, écrivain, est l’auteur d’une centaine d’ouvrages, romans, essais, volumes de journal, églogues, élégies, topographies et la série des Demeures de l’esprit. Président du parti de l’In-nocence, il en sera le candidat pour l’élection présidentielle de 2012 s’il obtient les nécessaires promesses de parrainage.

Décilivilisation

Présentation de l’éditeur

Décilivilisation est le livre frère de La Grande Déculturation. Comme il faut espérer que tous les lecteurs du nouveau volume n’auront pas lu le précédent, il commence par le reprendre et résumer, sous des angles nouveaux, avant de le prolonger, mais de le prolonger vers l’amont, si l’on peut dire, d’aller en deçà, de s’interroger sur des problèmes qui sont antérieurs et, si l’on veut, plus fondamentaux encore que ceux qui étaient abordés dans le premier de ces deux essais. Si La Grande Déculturation se penchait sur les questions relatives l’école, Décivilisation, dès sa première phrase, fait porter la réflexion sur un amont de l’école, sur l’éternelle distinction entre instruction et éducation, sur les obstacles à la transmission — des connaissances, mais aussi des aptitudes à la vie en société — tels qu’ils se manifestent dans les nouveaux rapports entre les générations, à l’intérieur des familles, au sein d’une société où l’exigence d’égalité, s’étant imposée entre les sexes, prétend triompher aussi entre les âges, à présent, entre les niveaux d’expériences, entre ce qui surgit et ce qui est consacré par le temps (et du coup de l’est plus). Y a-t-il des limites à l’égalité, y a-t-il des champs où la démocratie soit hors-champ, et si oui lesquels : la famille, la culture, l’art, l’art de vivre ? et si non, quelle société nous est promise ?

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