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En décembre 2008, Karl Boulanger et Nabil Afkir avaient martyrisé sans fin une jeune femme atteinte d’une psychose grave. Réquisitoire ce matin.

Nabil (Afkir) m’a poussé à taper Domenika. J’ai pris une paire de ciseaux et je lui ai coupé l’oreille. Et puis, chacun son tour, avec un couteau, on lui faisait des cicatrices sur le corps. Nabil lui donnait des coups de pied pour qu’elle pisse le sang et qu’elle meure»

Nabil Afkir crachote dans le micro : “Oui, c’est vrai.” Les violences s’enchaînent, ne s’arrêtant, la nuit, que “parce qu’on était fatigués“.

Il ponctue son récit de “Ah oui, j’oubliais” qui relancent la litanie des supplices : “Et aussi, j’avais mis la plaque électrique pour que ça soit bien rouge et je lui ai brûlé la tête. Et aussi le front. Et aussi la main…

Il raconte les bâtons cassés sur le crâne de la victime après avoir servi à des viols douloureux, “les coups de pied dans la gueule” de Nabil. Et les suppliques de Domenika, tondue et couverte de plaies: “Arrêtez! J’ai mal.“(…)

Ah oui, j’ai aussi entré une bouteille de parfum dans le vagin.” Son zèle est désarmant : “Ah oui, le mardi, je voulais lui faire manger la merde, euh les excréments…

La Provence

(Merci à Renaud84)

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