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Des millions d’électeurs européens ne craignent plus d’afficher leur rejet de l’islam et de l’immigration. Les raisons dépassent les problèmes économiques ou sociaux. Les mouvements appelés «populistes» ont un point commun : ils mettent en cause directement l’immigration et la présence d’un islam importé, de plus en plus mal supporté, jugé incapable de s’intégrer dans le modèle culturel européen.

“Il faudrait que nous acceptions de nous définir par rapport au reste du monde, que nous admettions que l’Occident, notion impopulaire s’il en est, a une vie propre à défendre.”

Magali Balent, spécialiste des questions européennes à la Fondation Robert-Schuman, estime que ce phénomène populiste va durer : «La nouvelle poussée de l’extrême droite sur la scène européenne ne doit pas être interprétée comme un phénomène conjoncturel voué à disparaître lorsque la situation socioéconomique des populations vivant sur son territoire se sera améliorée.»

Dans un entretien confié à la revue, le Spectacle du monde, à paraître début décembre, Pierre Manent, 61 ans, directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), fait cette remarque : «Je suis très surpris de la léthargie des Européens qui semblent consentir à leur propre disparition. Pis, ils interprètent cette disparition comme la preuve de leur supériorité morale

Suite sur Valeurs actuelles (Merci à davidoff64)

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