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Le Livre noir de l’Europe est en ligne. Contre l’Europe de la dépense publique. Gaspillages, fraudes, dépenses somptuaires. 80 scandales concrets.

Ce hors série n°1 du Cri du Contribuable porte sur les absurdités de l’Europe. Vous pouvez le consulter et le télécharger gratuitement ICI.

  1. L’Europe jette notre argent par les fenêtres
  2. Comment on fraude avec l’argent public communautaire
  3. Une réglementation tatillonne, ubuesque ou scandaleuse
  4. Ce qu’on n’a pas osé vous dire

Le traité de Lisbonne – en vigueur depuis le 1er décembre 2009, après le oui irlandais et la ratification tchèque – étend les pouvoirs de Bruxelles à 68 nouveaux domaines de compétence.

Il consacre la supériorité absolue des lois européennes sur toute loi nationale et fait de l’Union européenne un quasi-État, doté de la personnalité juridique, d’un président du Conseil et d’un super-ministère des Affaires étrangères.

Au risque d’aggraver ses vices de comportement : 95 % du budget communautaire sont consacrés à « l’Europe providence. »

Depuis près de quinze ans, la Cour des comptes européenne émet un avis défavorable sur 80 % de ces dépenses, jugées illégales ou irrégulières. Celles-ci, à la discrétion de la commission européenne, lui attachent une clientèle d’obligés au détriment des États payeurs, donc des contribuables. Et leur efficacité économique est faible.

Pour nous, contribuables français, l’enjeu européen est important

Dans la monographie de Contribuables Associés de juillet 2008 intitulée « Ce que nous coûte l’Europe », notre expert Christophe Beaudouin rappelait que le solde budgétaire officiel net de la France vis-à-vis de l’UE – elle en est le deuxième contributeur avec 19 à 20 milliards d’euros par an – est négatif de 7 milliards par an, une fois déduits les « retours » communautaires (12 milliards d’aides agricoles et structurelles).

Ce solde négatif se dégrade rapidement.

À cela s’ajoutent d’autres dépenses européennes directes, les charges d’administration déconcentrée assumées par l’État et les collectivités locales au nom de l’Union, ainsi que le coût de la législation européenne pour les entreprises.

Soit, par an, déjà 60 milliards d’euros de coûts directs quantifiables pour notre pays, et plus de 2 000 euros par Européen.

Une étude britannique publiée neuf mois après celle de Contribuables Associés l’a corroborée, selon une autre méthode : elle évalue précisément à 2 460 euros le coût par habitant de l’UE pour 2008.

Observatoire des subventions
(Merci à Gérard le Savoyard)

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