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Les dignitaires des Émirats arabes unis étaient trop occupés par la glissade des marchés boursiers et les inquiétudes planétaires sur la dette de Dubaï, pour prendre le temps de réagir au vote des Suisses. Et si aucun appel au boycott ne s’est encore fait entendre, le premier réflexe des milieux économiques suisses a été de rentrer la tête dans les épaules, même s’ils ne croient pas à un impact concret.

Du côté des banques, on n’est pas inquiet. «Je ne vois pas pourquoi la clientèle du Golfe retirerait ses avoirs de Suisse,» s’étonne Philippe Steffen, patron de la société de gestion institutionnelle Oryx Finance, à Genève.

«Où mettraient-ils leurs fonds : à Dubaï ?»

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