Quelques réactions recueillies après une émission de Daniel Mermet, France-Inter, le 8 septembre 2009 :
- «Un jeune homme me montre sa carte d’identité française et me dit “Ça, ce n’est qu’un papier. Je suis algérien. Vous êtes restés 130 ans chez nous. S’il faut porter la barbe pour vous éliminer tous, je porterai la barbe.»
- « Si vous continuez à ne pas enseigner l’arabe à nos enfants, les burqas vont fleurir et les barbes vont pousser.» [Témoignage d’une auditrice manifestement maghrébine]
- « J’habite Grenoble. Rien que chez moi, elles y sont, les 300 burqas. »
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Sur Daniel Mermet, l’ami des pauvres, champion de la gauche, de l’antiracisme, du tiers-mondisme, il est de notoriété publique que le personnage a un fonctionnement maladif. Dictatorial avec ses collaborateurs, outrageusement tyrannique, il méprise le petit personnel, qui subit constamment vexations et brimades.
«Régulièrement, les membres de l’équipe sont qualifiés d’ “invertébrés”, indignes de travailler pour l’émission. Travailler pour lui, ce n’est pas travailler, c’est s’engager à son service, au service de son image. La culpabilisation organisée est l’une des clés du personnage et de son fonctionnement pathologique.” (lire l’article)
