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Les dirigeants européens et turcs ont plaidé mardi 21 avril à Prague, en faveur de la poursuite active des négociations sur l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne (UE).
Le ministre tchèque des Affaires étrangères, dont le pays préside actuellement l’UE, a affirmé que le processus en cours de négociations révélait que la Turquie était de “plus en plus proche de l’UE”.
Le ministre tchèque a tempéré l’opposition de certains pays comme la France, quant à cette intégration: “les attitudes sur les alliances vont et viennent, on les voit changer parfois pendant le cours de notre vie”. (Nouvel Obs)
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La Turquie trouve du soutien pour son adhésion à l’UE
“La place de la Turquie est dans l’UE.” Le premier ministre suédois, dont le pays prendra la présidence de l’Union européenne le 1er juillet, a réaffirmé son soutien à la candidature turque, le 21 avril, au cours d’une visite à Ankara.
Son ministre des affaires étrangères, Carl Bildt, est du même avis : “L’intégration de la Turquie est soutenue par une large majorité de pays et par une large majorité au parlement européen”. Une allusion à la position du président français, Nicolas Sarkozy, selon qui “l’immense majorité des pays européens est contre”.
Pour tenter d’adoucir la position française, le ministre turc des affaires européennes était mercredi à Paris et devait s’entretenir avec Michel Barnier, puis Bernard Kouchner. (Le Monde)

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