«Nous ne sommes pas des infirmières bulgares.» La formule est de Walid Joumblatt, qui l’a employée dernièrement devant quelques proches pour qualifier la politique française lors de l’élection présidentielle libanaise. Ce que le chef druze sous-entendait, c’est que Nicolas Sarkozy a cherché à marquer des points sur le dos du Liban par un nouveau coup diplomatique, à l’image de celui qui avait permis la libération des Bulgares retenus en otages en Libye par le colonel Kadhafi.
Vous pouvez aussi aimer
L’ONU récompense la France au Mali en attribuant des marchés à ses entreprises
Des entreprises françaises vont récolter les dividendes de la contribution de l’Etat français au budget de la mission de l’ONU au Mali. Selon le quotidien économique Les Echos, le secrétariat des Nations unies...
Mohamed-Amine : prénom composé masculin le plus donné en France
Téléstar du 02/10
(Merci à Dewey)
Israël : “Préserver la majorité juive du pays”
Eli Yishaï fera tout son possible pour préserver le caractère juif de l’Etat d’Israël. Le ministre de l’Intérieur a affirmé dimanche vouloir maintenir la majorité juive du pays. Lors d’une...
Dérapage des dépenses de personnel de l’État (Addendum vidéo)
Addendum du 26/11/2010 : L’État en peine pour payer les fonctionnaires Présidée par Jean Arthuis (UC, Mayenne), la commission des finances a décidé, sur la proposition de Philippe Marini (UMP, Oise), rapporteur...
Sondage – présidentielle : “on refait le match”
On refait le match. Comme c’est souvent le cas un an après une élection présidentielle, l’institut Ifop-Fiducial pour Europe 1* a posé la question aux Français : pour quel candidat voteraient-ils au premier...





