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«Nous ne sommes pas des infirmières bulgares.» La formule est de Walid Joumblatt, qui l’a employée dernièrement devant quelques proches pour qualifier la politique française lors de l’élection présidentielle libanaise. Ce que le chef druze sous-entendait, c’est que Nicolas Sarkozy a cherché à marquer des points sur le dos du Liban par un nouveau coup diplomatique, à l’image de celui qui avait permis la libération des Bulgares retenus en otages en Libye par le colonel Kadhafi.

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