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Dans le petit monde du capitalisme hexagonal, il y a des patrons qui réussissent, malgré une pratique de leur métier finalement assez banale, à incarner un supplément d’âme. Le président de Renault, Louis Schweitzer (photo) est de ceux là. Pas du tout le genre d’homme qu’on associerait avec un patron voyou, un Jean-Marie Messier qui veut partir avec une indemnité de 20 millions, ou un Antoine Zacharias, le patron de Vinci, qui voulait virer son numéro 2 qui lui refusait le versement d’une nouvelle prime de 12 millions. Et pourtant, à la lecture du dernier document de référence du groupe Renault, on apprend que cette figure du “capitalisme à visage humain” est un homme qui ne crache pas sur les euros, sous forme de stock-options (en plus c’est fiscalement plus avantageux)…

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