Vendredi 9 juin en soirée, des dégradations ont été perpétrées sur la salle George-Sand avec des morceaux de gouttières arrachées. Des riverains n’en peuvent plus, d’autres déménagent.
Des années que ça dure. Ce n’est pas la première fois, hélas, que la délinquance sévit rue George-Sand. Ce qui a d’ailleurs obligé le bailleur Habitat Saint-Quentinois, propriétaire du bloc d’immeuble de la rue Alphonse-Daudet, à condamner une cave avec du béton.
Dans la soirée du vendredi 9 juin, quelques adolescents se sont amusés à monter sur le toit de la salle des fêtes George-Sand. Au risque de tomber ou de se blesser, ils ont ajouté à cela des dégradations, notamment des morceaux de gouttières arrachés. Samedi matin, des morceaux de ciment jonchaient le sol un peu partout. « Nous avons acheté il y a deux ans et demi. Nous voulons revendre pour déménager. C’est tous les soirs », dénonce une riveraine, sous couvert d’anonymat. D’autres ont déjà passé le cap et sont partis, excédés par le grabuge continu dans le quartier. Un autre habitant, qui réside là depuis 30 ans, en est à sa troisième porte de garage cassée. « Je dors avec mon fusil de chasse, ça fait deux ans que je suis embêté », glisse-t-il. (…)
Intéressé par l’entente improbable des trois protagonistes du désormais célèbre « apéro saucisson pinard », le journaliste et écrivain André Bercoff a demandé à rencontrer Pierre Cassen, Christine Tasin et Fabrice...
Deux mineurs se sont noyés dans une voiture volée tombée à l’eau à Laneuville-devant-Nancy et un troisième est rescapé, a annoncé aujourd’hui à l’AFP le commissaire Xavier Gay-Heuzey, adjoint au...
Maquillage de comptes ou habillage légal de bilan ? Sous le feu des critiques pour leur responsabilité dans la crise financière, les banques de Wall Street, Goldman Sachs en particulier, sont au coeur d’un nouveau...
Le verdict est tombé début juillet. On le craignait révoltant. Il le fut. Voici les faits. En avril 2005, une fugueuse de 14 ans s’égare vers une cité hors contrôle de Carpentras. Happée par une meute, elle est, au long...
Pour David Rey, collaborateur parlementaire, le mouvement «Jour de colère» est une atteinte «aux principes fondamentaux de la République» et une «mise en cause du vivre-ensemble». Extraits de son analyse sur ce...
